Archives de Tag: Johnny Marr

Not Like Any Other Love

The Smiths : Not like any other love‘ Documentary (Culture Show, B.B.C., 2013)

The Smiths : ‘The Pablo Cuckoo Tapes’

Pablo Cuckoo

Mike Joyce a en personne signalé ce bootleg sur Twitter alors qu’il pensait être le seul à avoir encore une cassette de ces démos.

9 titres enregistrés en 1983 sur un magnéto dans les locaux de Joe Moss, premier manager du groupe, et qui figureront quelques mois plus tard sur le premier album éponyme des Smiths.

Une petite page de l’histoire en somme.

Some Links are Better than Others

The Smiths : ‘The South Bank Show‘ T.V. Documentary 1987

(via Nick Kent)

A Girl Called Sandie

Sandie Shaw : ‘Hand in Glove‘ (Rough Trade, RTT130, 1984)

Sandie Shaw : ‘I don’t Owe You Anything‘ (Rough Trade, RTT130, 1984)

Sandie Shaw :’Jeane‘ (Rough Trade, RTT130, 1984)

The The : ‘The Beat(en) Generation’

D’ailleurs en passant, pour ma génération, la Beat(en) Generation, c’était aussi un truc comme ça :

The The : ‘The Beat(en) Generation‘ (Epic, 1989)

(On notera la présence de Johnny Marr en guest aux côtés de Matt Johnson)

Une berceuse pour la nuit

The Smiths : ‘Asleep

Paint a Vulgar Picture

The Smiths : ‘Paint a vulgar picture

‘Re-issue ! Re-package ! Re-package !
Re-evaluate the songs
Double-pack with a photograph
Extra Track (and a tacky badge)’

Ainsi ironisait Morrissey sur le morceau ‘Paint a vulgar picture‘ paru en 1987 sur ‘Strangeways here we come‘, le dernier album de la mythique formation de Manchester.

Avec la maîtrise du texte qui fit sa réputation, notre bigmouth mancunien s’en prenait alors aux maisons de disques et à leurs techniques mercantiles le temps de cette ballade, sans cracher pour autant  sur ce qu’allait lui rapporter les ventes de cet album quelques mois après, suite à l’annonce de leur séparation.

‘Best of ! Most of ! Satiate the need
Slip them into different sleeves !
Buy both, and feel deceived’

Peu de chances d’être déçu face à la récente réédition de l’intégralité de leur discographie chez Rhino Records, remasterisée par Johnny Marr en personne et sortie sous divers packaging pour satisfaire toutes les envies : coffret vinyls ou CD, et une édition collector Deluxe on ne peut plus ‘Complete‘ limitée à 4000 ex. comprenant les 8 albums en vinyl et CD, plus les 25 singles en vinyl, bref l’intégralité de ces pochettes monochromes parmi les plus belles de l’histoire du disque.

Si j’en suis venu ironiquement à me rappeler les paroles de ‘Paint a vulgar picture‘ pour parler de cette sublime réédition, ce n’est évidemment que pour extirper la terrible frustation de n’avoir pu mettre les quelques 400 € pour acquérir ce magnifique coffret, certainement déjà épuisé à l’heure qu’il est.

Car malgré la pathétique déchéance du Moz, qui aurait mieux fait, comme une de ses illustres icônes, de se crasher au volant d’une porsche avant d’avoir atteint la trentaine pour que le mythe soit parfait, ce groupe restera pour toujours à mes yeux pour la quintessence de la pop anglaise, une alchimie parfaite entre les textes et les cordes, un somptueux vestige de mon adolescence où je ne me lasserai jamais de me réfugier.

Et pour mettre un terme définitif à cette frustration, et rendre aux ‘nouveaux pauvres’ ce qui était rappelons-le une musique de ‘prolos’, je remets ici à disposition ce fantastique bootleg sorti sur le net en début d’année qui, non seulement était gratuit, mais comportait en plus deux morceaux totalement inédits : les instrumentaux ‘I misses You‘ et ‘Heavy Track‘.